Sujets de type II1 classés par partie du cours de 1°S :
Exploiter un document afin de résoudre un problème scientifique.
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SCIENCES DE LA VIE : Des phénotypes à différents niveaux d'organisation du vivant. | |||
Du génotype au phénotype, relations avec l'environnement . |
La morphogenèse végétale et l'établissement du phénotype . |
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SCIENCES DE LA TERRE : Structure, composition et dynamique de la Terre. | |||
Structure et composition chimique de la Terre interne . |
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![]() d'après le logiciel Composition et dynamique de la terre, Ed Jeulin. Divergence et phénomènes liés . |
La machinerie thermique de la Terre. |
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La classe sur le terrain, une démarche scientifique. |
Vous trouverez ci-dessous des renvois vers des documents permettant de mieux comprendre des mécanismes parfois complexes.Les adresses des principaux sites proposant ces diaporamas, animations flash et autres documents de travail sont précisées dans la rubrique "mes sites préférés" De nombreux exercices en ligne |
Les premiers exemples de sujets de type II1 :CORRIGES |
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Corrigé du sujet n°1Chaque fois que la température est abaissée de 2°C (amplitude du refroidissement), on constate une augmentation de la fréquence des PA, mais une constance de leur amplitude. En effet, pour le témoin, on enregistre un train composé de 7 PA pendant la durée du refroidissement (5 secondes) alors que pour un refroidissement de 2°C, on enregistre 15 (16) PA dans le même temps. Le message sensitif provenant des thermorécepteurs est donc codé par la fréquence des PA qui se propagent le long des fibres nerveuses sensitives. |
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Corrigé du sujet n°2Le brouillon :
La réponse rédigée :Montage 1 : Stimulations sur le muscle (st1) et sur la racine dorsale de la ME (st2), enregistrements sur la racine dorsale (1) et ventrale (2) Suite à la stimulation 1 :
► 1,1 – 0, 5 = 0,6 ms c’est le temps de franchissement de la ou les synapses. Conclusion partielle : Entre les neurones sensitifs et les neurones moteurs associés au même muscle, il existe une seule synapse. Remarque : le centre nerveux modifie le message nerveux. Suite à la stimulation 2 :
► Le message nerveux circule en sens unique : ici du centre nerveux à l’effecteur (message moteur)
► Il y a confirmation de la synapse unique au niveau de la moelle épinière. Conclusion partielle : La contraction du muscle étiré fait intervenir un circuit monosynaptique. ------------------------- Montage 2 : Stimulations sur le muscle (st3) et enregistrements au niveau des corps cellulaires des motoneurones (M1 et M2).
► le délai s’explique par la propagation du message depuis le récepteur jusqu’à la moelle + une synapse.
► le délai doublé nous montre qu’une deuxième synapse a ici été franchie.
► le message doit être inhibiteur alors que le précédent était excitateur. Conclusion partielle : Le relâchement du muscle antagoniste s’explique par un circuit nerveux à deux synapses : un neurone sensitif puis un interneurone inhibiteur et enfin le neurone moteur. |
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Corrigé du sujet n°3 (variante du 2)Le brouillon :
La réponse rédigée : 1) Le réflexe myotatique implique un circuit nerveux monosynaptique et un autre circuit polysynaptiqueMontage 1 : Stimulations sur le muscle (st1) et sur la racine dorsale de la ME (st2), enregistrements sur la racine dorsale (1) et ventrale (2) Suite à la stimulation 1 :
► 1,1 – 0, 5 = 0,6 ms c’est le temps de franchissement de la ou les synapses. Conclusion partielle : Entre les neurones sensitifs et les neurones moteurs associés au même muscle, il existe une seule synapse. La contraction du muscle étiré fait intervenir un circuit monosynaptique. ------------------------- Montage 2 : Stimulations sur le muscle (st3) et enregistrements au niveau des corps cellulaires des motoneurones (M1 et M2).
► le délai s’explique par la propagation du message depuis le récepteur jusqu’à la moelle + une synapse.
► le délai doublé nous montre qu’une deuxième synapse a ici été franchie.
► le message doit être inhibiteur alors que le précédent était excitateur. Conclusion partielle : Le relâchement du muscle antagoniste s’explique par un circuit nerveux à deux synapses : un neurone sensitif puis un interneurone inhibiteur et enfin le neurone moteur. 2) la transmission synaptique est unidirectionnelle.Montage 1, suite à la stimulation 2 :
► Le message nerveux circule en sens unique : ici du centre nerveux à l’effecteur (message moteur) Conclusion partielle : La transmission synaptique est unidirectionnelle. 3) la transmission synaptique modifie le message.Suite à la stimulation 1 (montage 1), le message nerveux est différent (au niveau de la durée, du nombre de sommets) sur la racine dorsale (en 1) et sur la racine ventrale (en 2). ► Le message afférent a des caractéristiques différentes du message efférent. Conclusion partielle : Au niveau de la synapse, il y a traitement de l’information (modification du message). |
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