Expression, stabilité, variation du patrimoine génétique
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éléments constitutifs ("briques") des protéines ("mur"). | |||||||||||||||
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complexe enzymatique catalysant la synthèse d’un nouveau brin d’ADN par réplication semi-conservative. Les enzymes assurent :
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facteur de l'environnement (amiante, UV...) augmentant la fréquence des mutations. | |||||||||||||||
version d'un gène se distinguant d'un autre par une ou plusieurs différences dans la séquence nucléotidique. | |||||||||||||||
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(du grec anti : « contre », et bios : « la vie ») molécule qui détruit ou bloque la croissance des bactéries (inactifs contre les virus qui ne sont pas des êtres vivants) | |||||||||||||||
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acide ribonucléique synthétisé par transcription à partir du brin transcrit de l'ADN d'un gène (ou allèle). Il permet à l'information génétique de sortir du noyau où il sera traduit en polypeptide, dans le cytoplasme, au niveau des ribosomes. |
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autoradiographie | technique de mise en évidence d'une activité cellulaire en utilisant une molécule radioactive spécifique dans cette activité. On révèle la radioactivité en posant une pellicule photographique sur la préparation microscopique marquée.
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molécules constitutives des nucléotides et donc de l'ADN ou de l'ARN. Il en existe 4 types ; ils sont responsables de l'information génétique portée par l'ADN. | |||||||||||||||
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prolifération anormale de certaines cellules de l'organisme suite à une accumulation de mutations dans des cellules somatiques. La plupart des cancers aboutissent à la formation de tumeurs. |
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produit de la réplication, constitué d’une molécule d’ADN. Un chromosome en contient une seule en fin de division (début d’interphase), mais 2 en fin d’interphase (après réplication). |
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multiplication naturelle ou artificielle à l'identique d'une cellule, c'est-à-dire avec conservation exacte du même génome (clone cellulaire). Le clonage thérapeutique permet de soigner certaines personnes ; le clonage reproductif est illégal car contraire à l'éthique. |
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ensemble de cellules génétiquement identiques entre elles car issues des divisions successives d'une cellule mère par mitoses. | |||||||||||||||
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dysfonctionnement du système de régulation de la glycémie , qui peut avoir des causes diverses (sécrétion d' insuline , réponse à l'insuline, etc.) et présente plusieurs formes, qui ont toutes en commun des urines abondantes (polyurie). le diabète de type II est aussi appelé gras ou de l'adulte car les 1° signes apparaissent généralement vers l'âge de 40 ans (même si de rares cas sont signalés chez des enfants). Dans la majorité des cas ce diabète se développe à la suite d’une obésité.
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étude statistique des rapports entre les maladies et les facteurs susceptibles d’exercer une influence sur leur fréquence, leur distribution, leur évolution. | |||||||||||||||
ensemble de fibres protéiques responsables du positionnement des chromosomes lors de la mitose et surtout de la séparation des chromatides lors de l’anaphase. (en vert sur les schémas de mitose de cette page). |
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fragment d'ADN gouvernant (en 1° approximation) la synthèse d'une protéine. Le gène CODE pour une protéine. | |||||||||||||||
ensemble des allèles d'un individu. | |||||||||||||||
qualifie les cellules d'un organisme destinées à devenir des gamètes (= cellules reproductrices : spermatozoïdes et ovocytes). S'oppose aux terme somatique. | |||||||||||||||
concentration sanguine de glucose. | |||||||||||||||
hétérozygote |
qualifie un individu portant 2 allèles différents pour un gène donné. Dans le cas d'une maladie génétique (ou héréditaire) on parle aussi de porteur sain. | ||||||||||||||
qualifie un individu portant 2 allèles identiques pour un gène donné. | |||||||||||||||
substance fabriquée par un organe endocrine (= qui libère la substance dans le sang), en faible quantité, et qui agit, après transport sanguin, sur les cellules d'un organe cible (récepteurs). | |||||||||||||||
hormone impliquée dans la régulation de la glycémie, à rôle hypoglycémiant (stockage dans les effecteurs : foie, muscles, tissus adipeux). Les récepteurs sont défaillants chez les obèses atteints par le diabète de type II. | |||||||||||||||
phase du cycle cellulaire précédant la mitose et au cours de laquelle la réplication de l'ADN s'effectue selon un mécanisme semi-conservatif, fondé sur la complémentarité des bases azotées. Au début, on distingue, grâce au microscope électronique, que la chromatine est constituée de nucléofilaments, présentant la forme d’un collier de perles. Plus tard, on observe des yeux de réplication au sein de la chromatine. Juste avant la mitose les chromosomes sont constitués de 2 chromatides. |
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étape de la synthèse des protéines (après transcription) au cours de laquelle l'ARNm peut subir un épissage. | |||||||||||||||
2° phase de la mitose au cours de laquelle les chromosomes, condensés au maximum (caryotype), se disposent au centre de la cellule et forment la plaque équatoriale. Cette disposition est permise par les tractions exercées par les fibres du fuseau sur le centromère de chaque chromosome.
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processus de division cellulaire continu mais on le décrit en 4 phases : prophase, métaphase, anaphase et enfin télophase au cours desquelles les structures cellulaires (chromosomes) se modifient. Elle est précédée de l’interphase au cours de laquelle l’ADN se réplique, chaque cellule fille contient donc le même patrimoine génétique que la cellule initiale : l'ensemble constitue le cycle cellulaire. |
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maladie héréditaire qui associe des troubles respiratoires et digestifs. Cette maladie est monogénique (autosomale, récessive) et relativement fréquente. | |||||||||||||||
modification aléatoire de la séquence des nucléotides d'un gène. Ses conséquences sont variables selon qu'elle touche des cellules germinales ou somatiques. | |||||||||||||||
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nom donné à l’observation microscopique de la chromatine au cours de la phase S de l’interphase, on remarque que chaque nucléofilament se réplique et donne deux nucléofilaments identiques, reliés au niveau du centromère. On parle alors de chromosome constitué de deux chromatides.
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organe endocrine responsable de la régulation de la glycémie par synthèse d'hormones : insuline hypoglycémiante... | |||||||||||||||
ensemble des caractères d'un individu. Se définit à l'échelle moléculaire, cellulaire puis macroscopique (signes cliniques). | |||||||||||||||
configuration génétique d'un organisme qui le rend vulnérable à un problème de santé, l'environnement et les relations de l'organisme avec celui-ci ayant également une influence plus ou moins importante sur l'apparition ou non du problème. Ex : le diabète de type II est notamment dû à des gènes de prédisposition (qui se combinent aux facteurs internes et/ou externes). |
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terme de l'épidémiologie : nombre de personnes atteintes d'1 certaine maladie à un moment donné dans 1 population donnée. | |||||||||||||||
ensemble des mesures destinées à éviter la survenue d'une maladie lorsqu'on en connaît les facteurs de déclenchement (grâce à l'épidémiologie) : évitement des agents mutagènes, surveillance, vaccination... | |||||||||||||||
1° phase de la mitose au cours de laquelle les chromosomes se condensent (spiralisation), ils deviennent bien visibles. L’enveloppe nucléaire est progressivement détruite. Il se forme un fuseau achromatique dans le cytoplasme.
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mécanisme semi-conservatif par lequel la quantité d’ADN est doublée dans une cellule, au cours de l’interphase. Modélisation du mécanisme grâce à des fermetures éclair. Source : Framanet. |
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capacité d'un micro-organisme à résister aux effets des antibiotiques, après mutation(s). | |||||||||||||||
résultat d'un calcul de probabilité pour déterminer si un foetus risque d'être atteint par une maladie génétique. | |||||||||||||||
maintien et propagation, dans une population, de mutations conférant un avantage sélectif aux individus qui en sont porteurs (ex : résistance à un antibiotique pour une bactérie). | |||||||||||||||
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qualifie les cellules d'un organisme qui ne deviennent pas reproductrices (ou gamètes) : cellules du foie, du cerveau, de la peau... S'oppose au terme germinal. | |||||||||||||||
4° phase de la mitose au cours de laquelle 2 cellules s'individualisent par formation d'une paroi transversale. 2 enveloppes nucléaires se reforment. Les chromosomes à 1 chromatide se décondensent.
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stratégie thérapeutique qui consiste à faire pénétrer un allèle fonctionnel dans chaque cellule possédant un allèle mutant responsable d'une maladie génétique. |
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(du latin tumere , enfler) augmentation de volume d'un tissu qui se produit à la suite d'un dérèglement de la multiplication cellulaire (mitose), de type bénin ou malin (quand il s'agit d'une tumeur maligne, on parle de cancer). |
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introduction d'un agent extérieur (le vaccin ) dans un organisme vivant afin de créer une réaction immunitaire c'est à dire pour stimuler les défenses naturelles de l'organisme. | |||||||||||||||
entité biologique qui nécessite une cellule hôte , dont il utilise les constituants, pour se multiplier. On ne peut donc parler d'être vivant. |